
Le meuble presque monté
Quatre jours de boulot pour faire mon meuble et il est presque terminé.
Commencé le week-end dernier, les 3 jours du week-end de Pâques n’ont pas été de trop pour continuer à couper, ajuster et monter le meuble et ses éléments.
Entièrement en bois massif (de jolies tablettes en pin achetées en grande surface) et assorti au plan de toilette, le meuble sera inséré entre les jambages sous le lavabo après avoir été assemblé et résiné. Tous les morceaux ont été coupés à la scie circulaire sur table, les chants rectifiés à la ponceuse à bande et les faces poncés à la vibrante.
Le travail doit être soigné car le meuble rentre juste, avec un peu de jeu nécessaire pour le glisser à sa place. Pour ça il a fallu prendre correctement les mesures puis couper et faire un assemblage à blanc pour noter les petits défauts. Ensuite, il a fallu tout démonter et rectifier ce qui n’allait pas soit à la scie circulaire soit à la ponceuse à bande.
Tout ceci a été suivi d’un dernier ponçage sur toutes les faces avant l’assemblage final. Les tiroirs ont été montés et placés pour poser les glissières et ajuster les façades, puis redémontés.
Le caisson a été résiné en fin d’après-midi (une première couche). Il ne restera plus qu’à couper les fonds des tiroirs, mettre la deuxième couche de résine, poser les portes et terminer le « coffre à linge » assorti.

Il faudrait tondre
Comme il fait beau et que je suis en congés, j’ai un peu laissé tombé le grenier pour m’attaquer au jardin qui a besoin d’un bon coup de nettoyage.
Encore du tri et pas mal de choses ont été emmenées à la déchèterie (3 voyages supplémentaires en 206).
Un gros nettoyage du crépi des murs de la maison ainsi que du trottoir au Karscher est commencé, il faudra continuer le week-end prochain s’il fait toujours beau. La terrasse en bois en méconnaissable. Même la table de jardin a retrouvé une deuxième jeunesse !!
Un peu de jardinage pour améliorer l’existant et profiter enfin du soleil. Ca commence enfin à ressembler à quelque chose.
Le chat aussi me donne un coup de main en me soutenant moralement… Admirez le style !
- Il faudrait tondre

Le plus dur est fait...
Suite de l’isolation du grenier. Ma semaine de vacances va m’être bien utile pour terminer.
Le deuxième pan de toit va être fait comme le premier. La couche fine entre les chevrons est découpée dans les rouleaux de laine de verre et coincée entre les chevrons… Ca tient tout seul…
Deuxième mission : isoler la partie la plus compliquée au dessus du plafond surbaissé de la petite chambre.
Un peu difficile d’accès à cause de la configuration des lieux : il faut se faufiler entre le vieux plancher et la poutre du toit pour accéder au recoin à isoler. Comme cette partie sera abandonnée dans l’aménagement du grenier, l’isolation est déroulée au sol à l’inverse du toit : une première couche épaisse est découpée dans les rouleaux et placée entre les chevrons du plafond qui font le même épaisseur que la laine de verre. La deuxième couche, plus fine, est ensuite déroulée au-dessus en couche croisée.
Troisième mission pour plus tard dans la semaine : il y a un peu de maçonnerie à faire pour replacer quelques pierres à la jointure du mur et du toit et il faut réparer cette fuite d’eau à la jonction avec le toit du voisin.
- Le plus dur est fait…

18 rouleaux (4 + 14)
Pas compliqué à faire, pas très long non plus mais un peu pénible à cause de la chaleur sous la combinaison et d’une soudaine irritation de la gorge qui fait tousser malgré le masque.
Il suffit donc de recouper la laine de verre à la bonne largeur avec une scie égoïne avant d’ouvrir le rouleau et le tour et joué : il n’y a plus qu’à dérouler et recouper en longueur. L’écartement des chevrons n’étant pas régulière, j’ai du jouer avec les différentes largeurs pour avoir le moins de perte possible. Pari gagné, les chutes m’ont servi à bourrer les extrémités avec la maçonnerie.
En coupant un peu plus large que la mesure, la laine de verre tient toute seule en pression contre les chevrons. Ce ne sera pas pareil pour la deuxième couche qui va être déroulée en longueur et qu’il va donc falloir « supporter ». Mais ça, on verra plus tard. En attendant, la première couche (entre chevrons) est à moitié finie.
- 18 rouleaux (4 + 14)

Prête pour Golfech
Après plusieurs week-end de ponçage, la charpente est enfin prête à être traitée au Xylophène pour faire disparaître toute trace de vermine.
Assez simple à faire, c’est juste le déguisement qui est un peu « lourd » : combinaison, masque pour les yeux et pour le nez (à cartouches celui-là, pour les produits chimiques). Je crois que je vais le mettre de côté car c’est bientôt le Carnaval !
Samedi après-midi, le premier côté était fini en à peine 2 heures de travail à remplir, pomper, monter, pulvériser, redescendre, purger, remplir, etc. Je n’ai mis que 2 couches au lieu des 3 préconisées car le bois à véritablement « bu » le produit et j’ai consommé la quantité requise en 2 passes (j’ai vidé le premier bidon qui était prévu pour 120m² (en trois couches avec les poutres et les parties cachées, il aurait du en rester).
Idem dimanche pour le deuxième côté : j’ai essayé de faire des couches plus légères mais le bois est tellement sec que ça pompe trop vite donc je n’ai fait que 2 couches bien garnies, comme hier. Le deuxième bidon est donc pratiquement vide.
Le dessous de toiture est donc fin prêt pour installer l’isolant la semaine prochaine pendant ma semaine de congés.
- Prête pour Golfech